Résister à la réconciliation

Intervention performative à titre de porte-parole de Mamu minu-tutamutau lors de Résistances autochtones, 14e édition de Mots et images de la résistance, Espace Café-Bar de la Cinémathèque québécoise, Montréal, 9 mars 2016.

Cette intervention performative trace les grandes lignes d’une étude de cas sur ANI KUNI et la relation recherche/cultures/réconciliation.

Ce récit a été développé dans Tshissinuatshitakan, la préface de l’ouvrage collectif Kasalokada ta lagwosada. Réalités et enjeux de la recherche collaborative en milieux autochtones*.

Préface TSHISSINUATSHITAKAN_PDF

Préface TSHISSINUATSHITAKAN et livre Kasalokada ta lagwosada dans ce portfolio

Pour télécharger gratuitement le livre Kasalokada ta lagwosada. Réalités et enjeux de la recherche collaborative en milieux autochtones

* Kasalokada ta lagwosada. Réalités et enjeux de la recherche collaborative en milieux autochtones est un ouvrage collectif, sous la direction de Carole Delamour, Jo Anni Joncas, David Bernard, Benoit Éthier et Francesca Croce, a été publié aux Éditions Peisaj E.Cogito en 2021.

 

Tshissinuatshitakan

Comme plusieurs d’entre vous sans doute, comme plusieurs amis Innu ou Anishinaabeg, nous avons appris et chanté, parfois dès l’enfance, une « chanson en indien » apparemment intitulée « ANI KUNI ». La plupart du temps, selon le moment et le contexte où on l’apprend, la signification ou l’origine de ce chant ne nous sont toutefois pas transmises. On peut penser qu’ANI est une fille, on connaît parfois des versions que certains qualifient de « grivoises » ou d’autres interprétations qui, bien souvent, s’avèrent être les expressions d’une méconnaissance plus ou moins consciente et d’un mépris plus ou moins affiché.

Comment se fait-il que nous connaissions cette chanson ?

Préface, Louise Lachapelle avec Shan dak Puana et la collaboration de Claudia Maltais-Thériault

Mots et images de la résistance

C’est aux résistances autochtones qu’est consacrée la 14e édition de Mots et images de la résistance, qui aura lieu le 9 mars à 19h30 au Bar Salon de la Cinémathèque québécoise. Quelles formes prennent les résistances autochtones? Comment les penser à partir d’œuvres et de pratiques picturales, cinématographiques, littéraires, philosophiques, citoyennes, etc.?

Présentation, Jean-François Hamel, Émile Bordeleau-Pitre 

CRÉDIT Affiche et logo Camille Rioux