Collaboration à titre de chercheure-créateure (2005-2010) et à titre de professeure associée (2006-2010) au sein du Groupe Habitats et cultures et du programme de la maîtrise en sciences de l’architecture, École d’architecture, Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels, Université Laval, Québec.
NOTE mise à jour en cours /mise en forme et infra liens à compléterCRÉDITS : (1) Participants du Projet international, Atelier intensif en architecture et en design urbain, Uashat, 2008 (2) Participants Atelier Charrette participative à Dakar, Sénégal, 2007
Cette collaboration avec André Casault, responsable du Groupe Habitats et cultures et professeure à l’École d’architecture de l’université Laval (ÉAUL), s’est développée à la suite d’une invitation que je lui avais adressée afin qu’il participe au numéro thématique Habiter hors de (Liberté, 2004), un projet d’écriture et de réflexion collective que j’avais initié dans la foulée des premiers travaux du cycle de recherche et de création This should be housing / Le temps de la maison est passé.
À la suite de cette collaboration et de la réalisation de ce projet, André Casault m’a invitée à présenter les fondements de cette démarche à l’École d’architecture lors de deux interventions programmées dans le cadre des conférences Passe moi l’sel : Le temps de la maison est passé, Volet I Ouvrir l’atelier d’un questionnement (2005) et Volet II Penser depuis une place incertaine (2006). Cette seconde conférence a porté plus spécifiquement sur les matériaux d’un séjour de recherche en Israël et en Palestine effectué en novembre-décembre 2005.
Collaboration avec le Groupe Habitas et culture de l’ÉAUL
Le contexte de recherche-action, de mobilisation des connaissances et d’enseignement propre aux activités réalisées en collaboration avec le Groupe Habitats et cultures de l’École d’architecture a constitué un formidable terrain d’apprentissage, de création et de recherche dans le cadre de ma pratique et de mes travaux d’enseignement de création et de recherche.
Ma contribution aux activités de formation en architecture visait particulièrement le développement d’une pratique réflexive et critique sur la démarche d’architecte et sur sa dimension éthique dans le contexte d’expériences collaboratives interculturelles locales et internationales, et de l’architecture contemporaines.
Gratitude
Le fait de participer activement à la conception d’outils de prise en charge de la rénovation des bungalows des réserves innues avec la communauté de Uashat mak Mani-Utenam ou encore, à l’intégration de pratiques d’agriculture urbaine à l’architecture, au design urbain et à l’aménagement de quartiers populaires avec des communautés de Dakar au Sénégal, a ainsi favorisé un travail plus direct et aussi plus collectif sur les enjeux contemporains de l’habiter, de l’habitat et de la coexistence, sur les paysages culturels et l’environnement bâti, tout en suscitant des rencontres significatives.
Le corpus d’expériences liées aux différents projets et terrains d’enseignement et de recherche auxquels j’ai pris part, m’a donc permis de poursuivre le développement d’une approche transdisciplinaire, interculturelle et collaborative de l’habiter contemporain, de concert avec différents chercheurs et représentants des communautés innues de la Côte Nord du Québec et de la communauté de Malika en banlieue de Dakar au Sénégal.
Je tiens à exprimer ma gratitude à André Casault, ainsi qu’à ses collègues de l’École d’architecture, Pierre Côté, Tania Martin, Denise Piché et Geneviève Vachon.
Je remercie également les étudiantes et étudiants du programme de maîtrise en architecture, dont tout particulièrement, Jessica Gagnon, Annie Pelletier, Émilie Pinard et Geneviève Reid.
Présentation du corpus de cette expérience (sélection)
Communautés innues, Québec, Canada
Logo de Mamu minu-tutamutau (détail) |
Vers une éthique collaborative en contexte interculturel et transdisciplinaire (projet interrompu) Ce projet visait à favoriser une définition collaborative et continue des conditions éthiques de la recherche en milieux autochtones par les participants, les partenaires et les chercheurs communautaires et universitaires d’une alliance de recherche universités-communautés (ARUC Tetauan, Université Laval CRSH) En collaboration avec Shan Dak Puana, Véronique Audet et Alexandre Huot Janvier à juin 2010
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Atelier de formation et d’échange sur l’éthique collaborative En collaboration avec Shan dak Puana, Devora Neumark, Véronique Audet, Alexandre Huot et autres collaborateurs Centre d’interprétation Place-Royale, Musée de la Civilisation Québec 28 juin 2010 |
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Détail de la page couverture |
Créer des liens : conditions et matériaux de collaboration (90 p.) Publication interne, rapport d’activités et notes de terrain portant sur mes visites des communautés innues de l’est du Québec effectuées de novembre 2009 à février 2010 au nom du Comité de gestion de l’ARUC Tetauan (CRSH) et documentation photographique (planches contact et 300 photographies sur support DVD) indexée par Annie Pelletier des communautés de Pakua Shipi, Unamen Shipu, Nutashkuan et Ekuanitshit, ainsi que Mashteuiatsh. Mars 2010 Planche contact Pakua Shipi – PDF |
Malika, Dakar, Sénégal
Objets réalisés dans les ateliers des jeunes de ENDA-Écopole, Dakar, Sénégal |
Activités de terrain préparatoires à l’Atelier Design-Build Stage international interculturel en architecture et en design urbain (Formule intensive) Maitrise en Science de l’architecture (ARC-4140 et ARC-6061) Création et animation d’un groupe de travail communautaire à Malika, réunions de recherche avec les différents chercheurs et collaborateurs sénégalais, activités de formations et d’échanges avec les étudiantes et animateurs communautaires. Projet en collaboration avec André Casault et Denise Piché, et impliquant des professeurs et des étudiants du Collège d’Architecture de Dakar, ainsi que des animateurs sociaux de la communauté de Diamalaye. Dakar, Sénégal. Avril et mai 2010 |
Charrette participative à Malika Exposition collective des photographies réalisées par les participantes et participants de l’atelier Foyer des jeunes, Malika Dakar, Sénégal 2009 Musée de la Civilisation de Québec, Québec, Québec, Canada 2008 |
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Présentation du Groupe Habitats et cultures Conférence en collaboration avec André Casault Centre de recherches pour le développement international (CRDI) Dakar, Sénégal 27 janvier 2009 [Plus d’informations] Habitats et cultures est un groupe multidisciplinaire d’enseignement et de recherche en contextes interculturels de l’École d’architecture de l’Université Laval (Canada). Dans ses collaborations avec différentes communautés, cette équipe explore des approches participatives à l’environnement bâti et à l’aménagement, ainsi qu’une compréhension culturellement adaptée de l’habiter.Cette équipe est actuellement impliquée dans une collaboration avec l’Institut africain de gestion urbaine et avec la communauté de Malika dans le cadre du projet « Vers une collectivité productive à Malika (Sénégal) : une expérience d’aménagement participatif » (CRDI, 2009-2012).André Casault et Louise Lachapelle présenteront les objectifs et les enjeux globaux et locaux de cette démarche qui les porte vers des lieux aux habitats aussi diversifiés que l’Amérique du Nord, l’Asie et l’Afrique de l’Ouest. Ainsi leurs principales collaborations se développent au cours d’un dialogue entre les « nomades sédentarisés » de Uashat mak Mani-Utenam, les « nouveaux urbains » de Malika et les « populations flottantes » de Shenzhen (projets : « Vers une architecture autochtone », «Villages dans la ville», «Villes productives»). Résumé du séminaire de partage du groupe Habitats et cultures de l’École d’architecture de l’Université Laval au CRDI Dakar |
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Présentation du Groupe Habitats et cultures Conférence en collaboration avec André Casault Séminaire de recherche sous la direction de Oumar Cissé Institut Africain de Gestion Urbaine (IAGU), Dakar, Sénégal 14 janvier 2009 |
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Atelier d’intégration de pratiques et activités productives au cadre bâti des quartiers populaires de Dakar, au Sénégal Conférence en collaboration avec André Casault, Denise Piché et autres collaborateurs Centre de recherche pour le développement international (CRDI), Ottawa 4 avril 2008 |
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Intégration de pratiques d’agriculture et de récupération dans l’architecture et l’aménagement du quartier Diamalaye (165 p.) Publication de l’atelier Habitats et cultures automne 2007 «Charrette participative à Malika» En collaboration avec André Casault, Denise Piché et autres collaborateurs Institut Africain de Gestion Urbaine (IAGU), Dakar, Sénégal 2008 [Plus d’informations] Le présent recueil rend compte d’une expérience collaborative qui témoigne du fait que le cadre bâti est une composante essentielle des milieux de vie. Le territoire à l’étude incluait la décharge de Mbeubeuss au Sénégal le seul site officiel d’enfouissement de Dakar, et la commune d’arrondissement de Malika, une commune traditionnellement rurale en voie d’urbanisation. Prenant appui sur un partenariat novateur entre chercheurs canadiens et sénégalais, l’atelier Habitats et cultures de I’École d’architecture de l’Université Laval a permis d’ajouter un volet cadre bâti au projet coordonné par l’nstitut africain de gestion urbain (IAGU) sur les impacts de la décharge de Mbeubeuss.L’atelier visait à développer des stratégies pour intégrer des pratiques productives dans l’habitation et dans l’aménagement de quartier. Il visait plus spécifiquement les pratiques d’agriculture urbaine et de récupération des déchets de façon à contribuer à la santé, à l’alimentation et au revenu des familles, de même qu’à l’amélioration de l’environnement et à la durabilité des formes de construction, d’urbanisation et de densification. Ce projet a aussi permis d’expérimenter, en contexte sénégalais, l’approche participative de la «charrette» pour identifier problèmes, besoins, ressources et solutions relativement au cadre bâti dans une perspective de renforcement de la gouvernance locale. Tous les objectifs du projet, incluant les objectifs de formation propres à l’atelier Habitats et cultures, ont été pleinement réalisés. Nous tenons à souligner que la participation à la « charrette » a été plus importante que prévue réunissant plus d’une centaine de personnes durant trois pleines journées autour des enjeux du développement du quartier Diamalaye qui borde la décharge. La diversité de la représentation a été appréciable au cours de cette démarche: citoyens et citoyennes, représentants et représentantes de groupes d’intérêt, intervenants et intervenantes, décideurs et chercheurs (entrepreneurs, éleveurs, agriculteurs, récupérateurs, urbanistes, chefs religieux et civiques, artistes, animateurs communautaires, jeunes, femmes et hommes). Ces échanges ont contribué directement à la dynamique locale tout en permettant à tous et toutes d’en acquérir une meilleure connaissance. Ils ont stimulé l’amorce de diverses initiatives (e.g. association des constructeurs locaux, développement du centre des femmes) et permis de dégager des priorités et des orientations consensuelles de développement. Cette approche participative s’est donc révélée particulièrement appropriée au milieu sénégalais, utile dans un contexte de communication interculturelle et complémentaire aux approches de concertation mises en place par I’IAGU. Ce recueil présente les propositions développées avec les participants et participantes dans le contexte de cette charrette qui a eu lieu à Malika les 31 octobre et 5-6 novembre 2007. Bien entendu, il s’agit encore d’explorations préliminaires en vue de nourrir le processus amorcé ensemble. Ces propositions de design architectural et urbain intègrent des pratiques d’agriculture et de traitement des déchets. Elles visent l’amélioration durable et productive du cadre bâti et de l’aménagement de Diamalaye et de Malika. Nous avons parfois tenté d’implanter dans les concessions, les habitations ou les espaces publics certains des dispositifs développés par des membres de l’équipe africaine, soit de petits systèmes de traitement des eaux usées (Seydou Nyang, IFAN) et diverses formes d’intensification de la production maraîchère (Youga Nyang, CDH).II va sans dire que bien d’autres préoccupations ont émergé ou cours de nos discussions. Elles permettront d’identifier certains des sujets à approfondir en vue de poursuivre cette riche collaboration. D’une manière plus générale, certaines des retombées importantes de ce projet concernent la prise en compte du rôle que le corde bâti peut jouer dons l’amélioration de la santé humaine, de la santé environnementale et des pratiques productives réductrices de pauvreté. Nous sommes donc particulièrement satisfaits d’avoir contribué, en interaction avec les chercheurs sénégalais, à l’intégration des préoccupations liées à l’architecture, ou design urbain et à l’aménagement dons la problématique des impacts de la décharge de Mbeubeuss, de même qu’ou renforcement de la dynamique communautaire en construction à Malika. Nous espérons que ce recueil saura vous communiquer l’esprit de cette formidable expérience et restituer adéquatement une partie de ses résultats. Nous le dédions tout particulièrement à tous les participants et participantes de la charrette et à tous nos collaborateurs et collaboratrices. Responsables du projet |
Charrette participative à Dakar
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Uashat mak Mani-utenam, Québec, Canada
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Uashat workshop Publication en collaboration avec Harbin Institute of Technology Shenzhen (Chine) 2008 UASHAT WORKSHOP_MAQUETTE DE LA PUBLICATION_FR/EN/CHINOIS [Plus d’informations] Cette activité de recherche et de création en design urbain donnée sous la forme d’un atelier/workshop intensif d’une durée de 3 semaines s’inscrivait dans le cadre du cours Projet international en architecture et urbanisme. Ce cours vise à fournir aux étudiants une expérience d’intervention en milieu interculturel et/ou international, en collaboration avec des partenaires de recherche. À l’été 2008, l’intervention prenait place au Québec, en territoire autochtone, dans un contexte international et interculturel de recherche, de design et d’action impliquant des partenaires Innus (communauté Uashat mak Mani-Utenam et Conseil tribal Mamuitun), de Shenzhen en Chine (CULD/HITSGS), de Waterloo en Ontario (University of Waterloo), du Collège de Maisonneuve de Montréal et de l’École d’architecture de l’Université Laval. Le milieu bâti contemporain des communautés autochtones demeure méconnu en dépit des nombreuses études sur les conditions difficiles de logement : maisons exigües par rapport à la taille des familles et mal adaptées aux besoins émergents (mutations familiales, féminisation de la pauvreté), habitat inadéquat pour une population en croissance et vieillissante, obsolescence du parc résidentiel, etc. En général, ces recherches traitent des besoins des collectivités par le biais des problèmes d’entretien et de construction, ou encore de l’usage de nouvelles techniques constructives en climat nordique. Mais qu’en est-il de la conception de nouveaux quartiers selon les principes d’aménagement viable? Quel milieu urbain convient-il de concevoir pour s’inscrire dans la continuité de ces transformations tout en tenant comptes des valeurs héritées et de l’identité locale? Face à la rareté des terrains, la communautée innue de Uashat, à Sept-Îles, prévoit depuis plusieurs années l’agrandissement de la réserve en développant un nouveaux quartier, ce qui a suscité des tensions locales. Peut-on envisager que des processus collaboratifs d’aménagement, ouverts sur la communication entre Autochtones et Allochtones, citoyens et professionnels, jeunes et aînées, chercheurs et citoyens, puissent faire émerger des manières différentes de penser le territoire et don habitabilité? Quelle forme prendrait un tel aménagement? Résumé de l’activité et mission (extrait), |
Marcher avec les bottes de l’autre/ Walking with another’s boots Article dans Uashat Workshop, Sept-Iles Quebec, Canada, June 2008. (les textes français et anglais de Louise Lachapelle sont accompagnés d’une traduction en chinois) En collaboration avec Harbin Institute of Technology Shenzhen (Chine) 2008 |
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Projet international en architecture et urbanisme Cours en collaboration avec André Casault, Pierre Côté, Tania Martin, Geneviève Vachon Atelier du programme de maîtrise en architecture, École d’Architecture, Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels, Université Laval, Québec Été 2008 |
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Communication affichée en collaboration avec André Casault, soutien graphique Émilie Pinard |
Habiter : éthique et architecture Article en collaboration avec André Casault et autres collaborateurs Maisonneuve international, Vol. 11 no 1 Montréal Décembre 2008 |
Habiter : éthique et architecture Communication affichée en collaboration avec André Casault Colloque de l’Association pour la recherche au collégial (ARC) Congrès de l’ACFAS Québec, Québec, Canada 6 mai 2008 |
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Détail de la page couverture |
Vers une architecture autochtone Publication de 15 fascicules de rénovation des maisons en milieu bâti innu, en collaboration avec André Casault, Pierre Côté, Tania Martin, Geneviève Vachon et autres collaborateurs Septembre 2008 |
Guide de rénovation / transformation / adaptation des maisons de Uashat Mak Mani-Utenam: Explorations et propositions préliminaires (323 p.) Publication de l’Atelier Habitats et cultures automne 2006 En collaboration avec André Casault et autres collaborateurs Automne 2007 [Plus d’informations] Ce document présente le travail réalisé durant l’automne 2006 par le groupe d’étudiantes et d’étudiants de l’atelier Habitats et Cultures. Ce travail s’inscrit dans un projet plus vaste intitulé Vers une architecture autochtone: Adaptation saine, durable et abordable des bungalows construits après 1960 sur le territoire de la communauté innue de Uashat Mak Mani-Utenam. Un projet financé par le Fonds des services aux collectivités du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec (MELS) – dont le calendrier complet s’échelonne de juin 2006 à juin 2008- portant sur l’élaboration de solutions de design architectural et de moyens concrets pour adapter les maisons construites après 1960 sur le territoire de la collectivité in nue de Uashat Mak Mani-Utenam, près de Sept-îles. L’originalité du projet repose sur le recyclage de l’existant pour bonifier les conditions de vie, dans une perspective de sensibilisation au développement durable, à l’identité culturelle et à la prise en charge du milieu bâti. Les adaptations proposées dans ce projet pourraient se traduire par des gains financiers importants pour la communauté qui fait face à d’autres solutions coûteuses: subventions à la construction neuve, ouverture de nouveaux territoires, rénovation prématurée de maisons en manque d’entretien, etc. La conception et la publication d’un guide présentant le potentiel d’adaptation des maisons à la population in nue répond à un urgent besoin formulé par le Conseil de bande. En plus de guider l’éventuelle rénovation du parc de maisons de la réserve, ce guide servira aux intervenants du Conseil tribal Mamuitun (le Groupe partenaire) pour la formation de membres de la collectivité innue. Ce projet intègre les expertises et les connaissances issues du monde académique aux savoir-faire pratiques du milieu local pour aborder un problème complexe d’aménagement durable. Ces savoir-faire émanant de la communauté sont variés et riches, il est donc extrêmement important de les intégrer au processus de travail. Une première phase du projet a été complétée à l’été 2006 et a permis de réaliser un relevé architectural des maisons typiques, de les classer et de les illustrer par types. Les objectifs de la 2e phase, et donc ceux en grande partie du travail présenté ici, étaient premièrement d’élaborer un diagnostic commun sur les besoins des clients-usagers au moyen de rencontres de discussion auxquelles ont participés, entre autres, plus de 25 familles de la communauté; des aînés, des jeunes familles, des personnes seules, des adolescents, des femmes monoparentales, ainsi que des intervenants de la communauté tels des membres de I’ICEM et du Musée le Shaputuan. Il s’agissait aussi d’identifier et d’illustrer le potentiel de transformation des maisons les plus typiques en cernant les principales contraintes à l’adaptation (au plan constructif, notamment). Et finalement, de concevoir des modèles d’adaptation abordables pour différents types de maisons afin de répondre aux nouveaux besoins, en misant sur les spécificités culturelles et climatiques. Présentation (extrait), André Casault |
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Vers une architecture autochtone: L’adaptation saine, durable et abordable des maisons sur le territoire de la communauté innue de Uashat mak Mani-Utenam Communication colloque en collaboration avec André Casault, Tania Martin, Geneviève Vachon et autres collaborateurs Colloque Habitat Autochtone, Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) Montréal, Québec, Canada 29 novembre 2007
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Adaptation saine, durable et abordable des bungalows de la communauté innue de Uashat mak Mani-Utenam Cours en collaboration avec André Casault Atelier du programme de maîtrise en architecture, École d’Architecture, Faculté d’aménagement, d’architecture et des arts visuels, Université Laval, Québec Automne 2006
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Photo : extrait du signet du 18 octobre 2005 |
Le temps de la maison est passé Conférencière invitée dans le cadre des Midi-conférences Passe-moi l’sel Responsable : André Casault, École d’architecture, Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design (FAAAV), Université Laval, Québec 18 octobre 2005 et 5 avril 2006 |